J’avais 25 ans quand je suis arrivée à Jobtrek, tant pis pour l’AVS ! Après avoir vécu deux faillites de mes anciens employeurs, des déceptions professionnelles et personnelles, j’étais perdue. Je ne faisais plus confiance à personne, je ne voulais même plus coopérer avec la société, j’avais l’impression que personne ne me comprenait… Et puis, je me suis dit que j’avais trop procrastiner, qu’il était trop tard pour rattraper le temps. Jobtrek est la seule mesure et je dirais même le seul endroit où l’on m’a vraiment écoutée et pris en compte mes envies sans même avoir besoin de me connaitre, toute l’équipe sans exception est gentille et bienveillante. Je ne dirais pas que Jobtrek m’a appris à trouver un apprentissage, mais bien plus que ça : j’ai appris à me connaitre et j’ai appris qu’il était important de continuer à le faire, jour après jour, mettre des mots sur ce que je veux et quand je n’y arrive pas, m’écouter quand même, trouver un sens à ma vie, m’accrocher à mes rêves, avoir la patience et surtout la volonté et la force de les réaliser !
Les camps de Jimmy ont été une vraie révélation pour moi. J’ai toujours aimé l’aventure mais je ne me mettais pas forcement de gros défis et pour moi, aujourd’hui, c’est la clé du succès. J’ai appris à faire confiance et surtout à me faire confiance, me dire que si je peux m’affronter moi, je peux tout affronter… et surtout je me suis rendu compte que je voyais la société comme une montagne alors qu’elle n’a que la hauteur qu’on lui donne.
Si je pouvais changer mon parcours ? Je ne le ferais pas car il m’a permis de beaucoup apprendre : l’apprentissage est plus important que le statut.
Ne pensez jamais que tout est perdu parce que vous avez procrastiné, parce que Mozart a écrit l’ouverture de Don Giovanni le matin de son avant-première.